
Le Tribunal fédéral a donné raison à la justice genevoise qui estimait qu’un courtier immobilier et ses mandants devaient supporter à égalité les dommages dans une grosse escroquerie.

Le Tribunal fédéral a donné raison à la justice genevoise qui estimait qu’un courtier immobilier et ses mandants devaient supporter à égalité les dommages dans une grosse escroquerie.